Accéder au contenu principal

Sortie scolaire

Une fois de plus je suis en vadrouille avec les élèves. Oui, je sais, cette année ça fait beaucoup (selon certains). Mais j'ai passé plus de temps avec les élèves aujourd'hui que j'aurais du en passer normalement. Et puis je ne demande rien, on me sollicite et j'ai l'accord de la direction, alors...!

Donc, aujourd'hui nous sommes allés visiter la Villa grecque Kérylos et les Villa et Jardins Ephrussi de Rothschild à Saint-Jean-Cap-Ferrat.
Cette sortie a été organisée par Carole et Sophie dans le cadre de l'option Maths-Anglais. Une "sortie récompense" pour clôturer l'année scolaire qui s'achève doucement. 

La Villa Kérylos a été construite au début du XXème siècle par un Français, Théodore Reinach, amoureux passionné de l'histoire et de la culture de la Grèce antique. Une maison unique, propriété depuis 1967 ou 1968, de l'Institut de France.

Photos.

Le marbre est partout, au sol, de la mosaïque faite de carreaux de marbre posés à la main, des amphores, des meubles en bois précieux, des plafonds somptueux. Des copies de statues ou des originaux à la gloire des divinités grecques.



Détail du coffre








La déesse Athéna








Détail du plafond








La chambre de Madame


La baignoire en marbre de Monsieur





Les thermes


Le patio 


La galerie


Tout ce luxe dans un cadre magnifique !

La Villa Ephrussi de Rothschild et ses jardins.

C'est encore plus joli, moins froid que le marbre, plus actuel bien que la maison ait été construite à la même époque (début du XX ème siècle), après la villa Kérylos. Les jardins sont superbes.







Au premier plan, des Daturas


















Le jardin japonais

Hymne à la féminité




Les jardins à la française


A l'intérieur de la Villa transformée en musée...




Chinoiseries


La chambre de Madame de Rotschild




Si vous voulez en savoir plus :

Le site de la Villa Kérylos

Le site de la Villa Rotschild


Libellés

Libellés :

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Kyûdô technique

J'ai trouvé sur Internet un site japonais très intéressant car il y est question du  kyûdô et de ses gestes techniques. Les manuels en français étant plutôt rares dans ce domaine j'ai pensé que traduire certains de ces articles pourrait intéresser plus d'un pratiquant de cet art magnifique. Le lien vers le site en question : http://medqdo.seesaa.net/ Allez, je me lance dans la traduction ! "  Aujourd'hui il est question de " tsunomi " et de " yugaeri " ... // ... tsunomi est un point très important lorsqu'on exécute te no uchi . Je pense que le tsunomi provoque la torsion de l'arc grâce à la poussée de la base du pouce sur ce dernier. En d'autres termes au moment où on pousse l'arc tout droit vers la pointe de la flèche et plus en encore lorsqu'on transmet à la flèche toute la puissance de celui-ci, alors c'est la fonction du tsunomi que de provoquer la torsion si importante de l'arc. Observez d'ab...
Enregistrer un commentaire
Lire la suite

Vitesse d'une flèche

On m'a demandé à quelle vitesse une flèche pouvait parcourir la distance de 28 mètres qui sépare le tireur de sa cible. J'ai utilisé Audacity pour calculer l'intervalle de temps entre le moment où une flèche est libérée et son point d'impact à partir d'un tir effectué par Michel Dupont sensei : 654 millièmes de secondes pour parcourir 28 mètres, soit environ 43 mètres par seconde ce qui fait plus de 150 km/h... Je ne connais pas la puissance de l'arc de Michel Dupont sensei .
2 commentaires
Lire la suite

Archerie

Je monte mes flèches. Je place ici des photos qui expliquent comment je procède pour fabriquer mes flèches. Le résultat est loin d'être parfait mais c'est un plaisir de pratiquer le kyûdô avec des flèches qui ont hérité d'un peu de soi-même. Peut-être exprimeront-elles davantage mes émotions durant ma pratique dans mon petit club Tendô de Toulon. Dans le kyûdô , on ne tire que deux flèches. La première est nommée " haya " , la deuxième " otoya ". Ces flèches possèdent des plumes prélevées sur des rapaces (aigle, faucon) dans le meilleur des cas, ou plus simplement sur de la volaille (de l'oie bien souvent) comme c'est le cas ici. Le rachis de la plume est coupé sur sa longueur de sorte que des moitiés de plumes sont vendues dans les magasin spécialisés. Ces deux "demi-plumes", une fois séparées l'une de l'autre, servent à empenner les flèches. On n'utilise jamais sur une même flèche les deux moitiés issue...
8 commentaires
Lire la suite