Dimanche dernier, le 5 mai, un troupeau de moutons est passé juste devant chez moi. J'étais dans le jardin quand j'ai entendu les cloches des animaux tinter.
Je me suis posté juste devant la maison, assis sur le petit muret qui supporte la clôture du voisin.
Je les vois doucement remonter la côte, une voiture s'est arrêtée pour laisser passer le vieux berger qui marche d'un pas lent mais assuré.
Je lance un bonjour amical qui m'est renvoyé avec un accent du midi plein de soleil.
Les moutons passent devant moi, j'entends les centaines de petites pattes sur le sol et les cloches qui sonnent, L'air sent la campagne d'autrefois, j'entends le souffle des bêtes, elles sont tout près de moi, certaines hésitent un peu, me regardent puis se décident brusquement. L'appel du troupeau est trop fort.
C'est magnifique. Que la Provence est belle !
Deux "patous", des Montagnes des Pyrénées, ferment la marche. Ils me regardent d'un œil un peu glauque et passent leur chemin.
Je me suis posté juste devant la maison, assis sur le petit muret qui supporte la clôture du voisin.
Je les vois doucement remonter la côte, une voiture s'est arrêtée pour laisser passer le vieux berger qui marche d'un pas lent mais assuré.
Je lance un bonjour amical qui m'est renvoyé avec un accent du midi plein de soleil.
Les moutons passent devant moi, j'entends les centaines de petites pattes sur le sol et les cloches qui sonnent, L'air sent la campagne d'autrefois, j'entends le souffle des bêtes, elles sont tout près de moi, certaines hésitent un peu, me regardent puis se décident brusquement. L'appel du troupeau est trop fort.
C'est magnifique. Que la Provence est belle !
Deux "patous", des Montagnes des Pyrénées, ferment la marche. Ils me regardent d'un œil un peu glauque et passent leur chemin.
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