Dimanche 14 avril.
L'avion est arrivé à Narita après onze heures de vol. Il est 7h50, heure locale
Je ne me sens pas fatigué même si je n'ai pas dormi dans l'appareil. Le couple d'Espagnols à coté de moi avait pourtant cesser de parler et avait même fini par s'endormir.
Pendant l'acheminement vers le contrôle d'immigration je remarque le panneau d'accueil pour tous les veinards qui arrivent dans ce beau pays. C'est écris en japonais, anglais, chinois et coréen je pense.
Je parviens enfin au service d'immigration. Je suis effaré par la file d'attente qui serpente dans les chicanes. C'est bourré d'Allemands cette fois-ci et eux aussi braillent tout ce qu'ils peuvent. Il me faudra une heure et demie pour être enfin libéré de cette file et de ses bruyants occupants . Je n'en peux plus de piétiner sur place.
Je récupère ma valise et j'arrive enfin au contrôle des bagages. Une formalité. L'employé est souriant, il ne me retient pas plus. Ça y est, je suis enfin libre...
A suivre...
L'avion est arrivé à Narita après onze heures de vol. Il est 7h50, heure locale
Je ne me sens pas fatigué même si je n'ai pas dormi dans l'appareil. Le couple d'Espagnols à coté de moi avait pourtant cesser de parler et avait même fini par s'endormir.
Pendant l'acheminement vers le contrôle d'immigration je remarque le panneau d'accueil pour tous les veinards qui arrivent dans ce beau pays. C'est écris en japonais, anglais, chinois et coréen je pense.
Je parviens enfin au service d'immigration. Je suis effaré par la file d'attente qui serpente dans les chicanes. C'est bourré d'Allemands cette fois-ci et eux aussi braillent tout ce qu'ils peuvent. Il me faudra une heure et demie pour être enfin libéré de cette file et de ses bruyants occupants . Je n'en peux plus de piétiner sur place.
Je récupère ma valise et j'arrive enfin au contrôle des bagages. Une formalité. L'employé est souriant, il ne me retient pas plus. Ça y est, je suis enfin libre...
A suivre...
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