Accéder au contenu principal

Kombucha

Ca y est ! J'ai décidé de goûter le kombucha. Je l'ai mis dans une bouteille sans même le filtrer. Ce n'est pas mauvais mais sans doute un peu trop acide quand même ! Pas comme du vinaigre, heureusement. Le gars qui m'a donné la souche m'a dit que 4 jours suffisaient pour la préparation. Sur Internet j'ai lu qu'il fallait attendre 10, 15 jours. Aujourd'hui ça en fait 14....

Bon, c'est un premier essai. J'ai déjà préparé un autre flacon plus pratique cette fois car pour transvaser le liquide dans la bouteille, j'ai ai mis un peu partout.
La souche est conservée dans le plat en pyrex du début avec un fond du mélange. Demain je redémarre une nouvelle mouture je pense avec le bon dosage de sucre : 70g par litre.

La boisson est trouble mais elle contient pas mal sels minéraux, vitamines et autres bonnes choses (j'espère !). Franchement le gout est intéressant. J'espère que mon estomac va tenir le choc ! Ça a vraiment le gout de cidre (mais en plus acide).


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Kyûdô technique

J'ai trouvé sur Internet un site japonais très intéressant car il y est question du  kyûdô et de ses gestes techniques. Les manuels en français étant plutôt rares dans ce domaine j'ai pensé que traduire certains de ces articles pourrait intéresser plus d'un pratiquant de cet art magnifique. Le lien vers le site en question : http://medqdo.seesaa.net/ Allez, je me lance dans la traduction ! "  Aujourd'hui il est question de " tsunomi " et de " yugaeri " ... // ... tsunomi est un point très important lorsqu'on exécute te no uchi . Je pense que le tsunomi provoque la torsion de l'arc grâce à la poussée de la base du pouce sur ce dernier. En d'autres termes au moment où on pousse l'arc tout droit vers la pointe de la flèche et plus en encore lorsqu'on transmet à la flèche toute la puissance de celui-ci, alors c'est la fonction du tsunomi que de provoquer la torsion si importante de l'arc. Observez d'ab...

Archerie

Je monte mes flèches. Je place ici des photos qui expliquent comment je procède pour fabriquer mes flèches. Le résultat est loin d'être parfait mais c'est un plaisir de pratiquer le kyûdô avec des flèches qui ont hérité d'un peu de soi-même. Peut-être exprimeront-elles davantage mes émotions durant ma pratique dans mon petit club Tendô de Toulon. Dans le kyûdô , on ne tire que deux flèches. La première est nommée " haya " , la deuxième " otoya ". Ces flèches possèdent des plumes prélevées sur des rapaces (aigle, faucon) dans le meilleur des cas, ou plus simplement sur de la volaille (de l'oie bien souvent) comme c'est le cas ici. Le rachis de la plume est coupé sur sa longueur de sorte que des moitiés de plumes sont vendues dans les magasin spécialisés. Ces deux "demi-plumes", une fois séparées l'une de l'autre, servent à empenner les flèches. On n'utilise jamais sur une même flèche les deux moitiés issue...

Vitesse d'une flèche

On m'a demandé à quelle vitesse une flèche pouvait parcourir la distance de 28 mètres qui sépare le tireur de sa cible. J'ai utilisé Audacity pour calculer l'intervalle de temps entre le moment où une flèche est libérée et son point d'impact à partir d'un tir effectué par Michel Dupont sensei : 654 millièmes de secondes pour parcourir 28 mètres, soit environ 43 mètres par seconde ce qui fait plus de 150 km/h... Je ne connais pas la puissance de l'arc de Michel Dupont sensei .