Samedi 9 et dimanche 10, c'était la reprise après les fêtes de fin d'année et c'était aussi, bien entendu, mon premier stage de kyûdô pour 2016 !
C'est notre club qui organisait la rencontre sous l’œil bienveillant de Frédéric Demangeon, renshi.
Le thème était "hassetsu" ou les huit phases du tir et l'approfondissement de notre conception de l'architecture du corps, la stabilité des émotions et l'utilisation du matériel.
J'ai déjà eu l'occasion de croiser le chemin de Frédéric Demangeon, la première fois, c'était au cours d'un stage qu'il avait animé à Montpellier le 1 décembre 2012. (J'y ai écrit quelques mots dans ce même blog).
Nous étions une petite trentaine samedi et un peu moins dimanche.
Le stage a démarré avec un hitotsu mato sharei réalisé par Frédéric, Régine Graduel, renshi et Vincent de notre club Tendô de Toulon.
Hitotsu mato sharei est un tir de cérémonie qui s'effectue à 3 (parfois 4) et au cours duquel les archers utilisent une seule et même cible. Le protocole exige que les kimono soient "préparés" sur la shajô : les femmes nouent leurs manches avec grâce et les hommes dénudent leur bras gauche.
Quelques photos prises pendant les phases de tirs libres avec ou sans corrections
Deux journées intenses...
C'est notre club qui organisait la rencontre sous l’œil bienveillant de Frédéric Demangeon, renshi.
Le thème était "hassetsu" ou les huit phases du tir et l'approfondissement de notre conception de l'architecture du corps, la stabilité des émotions et l'utilisation du matériel.
J'ai déjà eu l'occasion de croiser le chemin de Frédéric Demangeon, la première fois, c'était au cours d'un stage qu'il avait animé à Montpellier le 1 décembre 2012. (J'y ai écrit quelques mots dans ce même blog).
J'y étais ! |
Nous étions une petite trentaine samedi et un peu moins dimanche.
Le stage a démarré avec un hitotsu mato sharei réalisé par Frédéric, Régine Graduel, renshi et Vincent de notre club Tendô de Toulon.
Hitotsu mato sharei est un tir de cérémonie qui s'effectue à 3 (parfois 4) et au cours duquel les archers utilisent une seule et même cible. Le protocole exige que les kimono soient "préparés" sur la shajô : les femmes nouent leurs manches avec grâce et les hommes dénudent leur bras gauche.
Régine nous a fait l'honneur de venir samedi, elle devait repartir dans la soirée, sur Montpellier |
On peut rester debout pendant le tir |
Il faut procéder de façon à ne pas aller plus vite que celui ou celle qui nous précède |
Vincent en dôzukuri (phase 2 du tir) |
Frédéric, au début de uchi okoshi (phase 4) |
Uchi okoshi, mi course |
Fin de uchi okoshi |
Hikiwake (phase 5, pendant l'étape intermédiaire, daisan) |
La pleine ouverture, kai (phase 6) |
Hanare, le lâcher (phase 7) suivi de zanshin (phase 8) |
Quelques photos prises pendant les phases de tirs libres avec ou sans corrections
Cédric du club Tendô |
Des corrections, des explications apportées par Frédéric |
Vincent, très martial avec son superbe hakama |
On peut souffler quelques instants mais rester concentré et apprendre par le regard |
Coline, plus décontractée... |
Coline en kai |
Hanare ! |
Yugamae (phase 3), la mise en garde avec ici la saisie de la corde |
Eric et Cédric ! |
Deux journées intenses...
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