Samedi 20 Août.
Les 4 motards du dimanche que nous sommes (je parle surtout pour moi) c'est-à-dire, René dit "Pharaon" car toujours tiré à quatre épingles en toute circonstance, Lionel, Claude et moi, avons convenu de faire une petite virée en moto ou scooter à l'intérieur des terres.
9h30
On attend Lionel, rue des remparts à Draguignan. Claude et René discutent et moi je prends quelques photos.
Lio arrive avec 15 minutes de retard. On le charrie un peu car moi j'étais à l'heure au rendez-vous alors que j'habite à seulement 500 de chez lui.
On prend la vieille route de Figanières et on remonte vers Claviers. Arrêt café à La Roque Esclapon.
On remonte tout doucement par des routes sinueuses vers le Logis du Pin jusqu'au village de Saint-Auban. On déjeunera là, au restaurant "Le Tracastel", René a réservé nos places...
En chemin Lionel nous demande de monter au Lachens, lieu d'envol des parapentes et autres delta planes. Il nous indique que la route est bonne...
On s'est trompé de route. Lionel revient nous le confirmer. Arrêt pipi pour René ! |
On arrive enfin à Saint Auban. Il est 12h20.
La chaleur est étouffante sous nos casques et une eau fraîche sera la bien venue.
Claude louche vers le menu pizzas mais on lui dit de changer un peu...! Il choisit juste un plat unique : un carré d'agneau, Lionel des brochettes de gambas, René prend le menu à 18 euros avec une entrée Tracastel et de la pintade aux champignons. Moi, tout aussi gourmand, je prends aussi le menu mais je préfère, à la place de la pintade, une bavette sauce échalotes, cuisson saignante ! En accompagnement : des haricots verts avec des frites "maison". J'oubliais : 50 cl de rosé frais pour René et moi, 25 cl de rouge pour Lionel plus une eau pétillante et de l'eau plate pour Claude (très sobre Claude)
Au désert, Claude prend des îles flottantes, et nous prenons tous de la crème brûlée au Génépi. Un régal !
Claude louche vers le menu pizzas mais on lui dit de changer un peu...! Il choisit juste un plat unique : un carré d'agneau, Lionel des brochettes de gambas, René prend le menu à 18 euros avec une entrée Tracastel et de la pintade aux champignons. Moi, tout aussi gourmand, je prends aussi le menu mais je préfère, à la place de la pintade, une bavette sauce échalotes, cuisson saignante ! En accompagnement : des haricots verts avec des frites "maison". J'oubliais : 50 cl de rosé frais pour René et moi, 25 cl de rouge pour Lionel plus une eau pétillante et de l'eau plate pour Claude (très sobre Claude)
la salade Tracastel |
Au désert, Claude prend des îles flottantes, et nous prenons tous de la crème brûlée au Génépi. Un régal !
Le repas se passe bien. les clients à coté de nous s'en vont en oubliant leur porte monnaie...La jeune femme qui s'est attablée à leur place nous le signale ! C'est l'occasion pour René et Lionel de démarrer la conversation avec elle. On finira à côté de Marion sur la photo prise par le restaurateur. Lionel en profite pour lui demander son adresse mail (pour lui envoyer la photo bien entendu)
Je tiens à préciser que la conversation a été très courtoise et amicale sans aucune allusions grivoises comme il se doit à des gens bien élevés...D'autre par la dame en question était parfaitement camouflée sous son chapeau et derrière ses lunettes de soleil (enlevées pour les besoins de la photo), alors ...
Pour finir le repas, le patron du restaurant nous donne sa carte de visite et nous offre le pousse café : un petit verre de liqueur de verveine. On décline l'offre car il fait très chaud et la moto doit filer "droit" même sur une route sinueuse. On s'est juste laissé tenter en goûtant une petite gorgée du breuvage (Claude reste sobre).
Un bon petit restaurant avec deux menus à 18 ou 26 euros, un menu enfant, plus tous les plats à la carte : pizzas, viandes, poisson etc. C'est bon, c'est calme, on peut manger dedans ou dehors. Rien à dire !
Il est plus de 14h je crois quand on quitte les lieux. On dit au revoir à Marion, on discute moto avec le patron, il a remarqué la mienne qui lui plaît beaucoup semble t-il. Claude commente les accélérations foudroyantes de sa Yamaha. On parle dangers des deux roues, le problème des fondus de vitesse... On le "rassure" en lui disant que nous sommes vraiment des motards tranquilles et prudents.
Avant de partir vers Castellane, René nous conduit à la Clue de Saint-Auban. C'est sur la route qui part vers l'Est. Elle a été aménagée dans les gorges, il y fait frais, c'est magnifique, les falaises sont imposantes.
Direction Castellane.
Je regarde le compteur de vitesse : entre 55 et 60 km/h en gros. On roule tranquille pour parvenir aux lacs de Chaudane et de Castillon. L'eau est bleue turquoise au milieu de la pinède.
Ce sont des lacs de retenue des barrages EDF de Chaudane et de Castillon. Sur ce dernier, le plus grand cadran solaire du monde intrigue ceux qui passent par ici. C'est l'ombre de la corniche sur le mur de retenue qui permet de déterminer l'heure.
L'eau nous attire, il fait chaud, on a pris les maillots de bain...
Pour ne pas affoler les lectrices j'ai préféré masquer nos corps d'athlètes, ben oui faut pas tout dévoiler !
Il est plus de 14h je crois quand on quitte les lieux. On dit au revoir à Marion, on discute moto avec le patron, il a remarqué la mienne qui lui plaît beaucoup semble t-il. Claude commente les accélérations foudroyantes de sa Yamaha. On parle dangers des deux roues, le problème des fondus de vitesse... On le "rassure" en lui disant que nous sommes vraiment des motards tranquilles et prudents.
Avant de partir vers Castellane, René nous conduit à la Clue de Saint-Auban. C'est sur la route qui part vers l'Est. Elle a été aménagée dans les gorges, il y fait frais, c'est magnifique, les falaises sont imposantes.
Les strates calcaires sont plissées par endroit |
Dans la roche, la vierge de Saint-Auban |
Direction Castellane.
Je regarde le compteur de vitesse : entre 55 et 60 km/h en gros. On roule tranquille pour parvenir aux lacs de Chaudane et de Castillon. L'eau est bleue turquoise au milieu de la pinède.
Le lac de Chaudane |
Ce sont des lacs de retenue des barrages EDF de Chaudane et de Castillon. Sur ce dernier, le plus grand cadran solaire du monde intrigue ceux qui passent par ici. C'est l'ombre de la corniche sur le mur de retenue qui permet de déterminer l'heure.
Les lignes de couleur sont des repères pour lire l'heure |
La centrale électrique EDF |
L'eau nous attire, il fait chaud, on a pris les maillots de bain...
Pour ne pas affoler les lectrices j'ai préféré masquer nos corps d'athlètes, ben oui faut pas tout dévoiler !
Commentaires
Enregistrer un commentaire