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Des nouvelles

お久しぶり!Cela faisait bien longtemps !

J'ai reçu aujourd'hui un message d'une amie japonaise, Hiroko san, qui évoquait la série japonaise "tsurune" sortie l'an dernier. Il s'agit d'un dessin animé qui raconte l'histoire d'un jeune homme épris de kyûdô et qui retrouve la confiance qu'il avait perdue en raison d'un défaut technique (hayake) qu'il ne parvenait pas à corriger.
Le mari de Hiroko a beaucoup aimé cette série, aussi je place ici un article qui concerne le dernier stage de kyûdô que nous avons organisé par le club Tendô de Toulon. 

J'ai démarré un autre blog qui concerne cette discipline et l'article qui suit en est une copie... Le kyûdô n'intéresse pas forcément tout le monde aussi ai-je décidé de faire un blog plus axé sur cette superbe discipline.

Voici l'article en question

Samedi 8 février

Stéphane Louise, renshi 5ème dan est venu tout exprès de son département de l'Essonne pour animer le stage organisé par le club Tendô de Toulon, les 8 et 9 février derniers. 
Tomoko Shimomura, renshi 5ème dan également, secondait Stéphane Louise sensei.

Je place ici quelques impressions pour faire vivre à ma façon mon association qui n'existe que virtuellement et qui ne trouve décidément pas de lieu pour pratiquer en Dracénie au sens large (Draguignan et les agglomérations voisines)

Mon rôle au sein du club Tendô est de premier plan puisque j'ai l'honneur d'encadrer les pratiquants déjà confirmés (dans la mesure où on peut être confirmé ce dont je doute et ceci me concerne plus que tout autre) et d'enseigner auprès des grands débutants.

Les stages sont des moments importants pour la vie d'un club parce qu'ils permettent de faire des rencontres et de découvrir ou de redécouvrir jusqu'où nous sommes prêts à aller pour nous remettre en question dans notre pratique.

Personnellement j'y trouve beaucoup d'énergie et de motivation pour persévérer. Les stages sont des moments où on sort de sa zone de confort, où on doit s'adapter pour s'harmoniser aux gestes des autres, ceux avec qui on ne pratique pas habituellement. Et puis les enseignements sont toujours nouveaux en raison de la vision des sensei sur leur propre pratique et en raison de leurs expériences auprès des sensei japonais mais pas seulement. J'aime aussi apprendre à enseigner. Je regarde, j'observe, je m'imprègne pour en retirer la substantifique moelle. Ma pratique, mon expérience s'enrichissent, ma compréhension s'affine au fil des années en partie grâce à ces stages et de mon entraînement encore trop irrégulier.



Préparation de l'azuchi


Le tir de cérémonie : hitotsu mato sharei avec Louise sensei et Shimomura sensei. Un honneur pour moi de les accompagner.

Une photo de Mélanie, du club aixois de Shimomura sensei.

Tirs corrigés par Louise sensei

... et Shimomura sensei


Nous étions une petite vingtaine présents à ce stage très enrichissant.







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