A Montpellier...
Le stage s'effectue sur deux demi-journées : samedi après midi et dimanche matin. Nous sommes 8 du club de Toulon et nous dormirons dans un hôtel de la chaîne "Hôtels première classe".
Après 3 heures de route, j'arrive à la cafétéria du Géant Casino (sortie Montpellier-Sud), lieu de rendez-vous où nous prendrons un léger repas.
Un peu plus tard, nous arrivons au gymnase Ramel. Une quarantaine de participants est attendue, de Montpellier, Toulouse et Toulon.
Ce n'est pas aussi beau qu'à Sorgues mais c'est ce qu'il faut pour autant de monde. On tire depuis le premier plan jusqu'aux cibles dont une seule est visible au fond, ici, pour le tir d'ouverture. Distance 28 mètres.
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La Mato, cible de 36 centimètres de diamètre |
On se prépare, on s'échauffe, on attend le Salut avec les Maîtres Kyûdô : Laurence Oriou Sensei, K...6ème ..., Présidente de la Fédération Française de Kyûdô Traditionnel et son époux, Charles Louis Oriou Sensei, R...6ème ....
Laurence Oriou Sensei est la femme la plus gradée au monde hors Japon ! Une grande dame du Kyûdô mondial !
A l'arrière de la zone de tir...
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On s'échauffe |
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Premier Sharei sous l'oeil de Charles-Louis |
Après cette première demi-journée bien remplie, on va dîner au restaurant d'un ami du club. Cuisine japonaise...J'ai faim !
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Velouté de Shiitake (un champignon). Délicieux ! |
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Tempura de saumon avec lamelles de gingembre |
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Charles-Louis Sensei |
Le barbu au fond, c'est Fred avec son épouse Anne à sa droite et Eric à sa gauche (barbu aussi)
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Laurence Oriou Sensei à gauche discute avec Sylvie Sensei |
J'ai pu discuter avec les deux Toulousains qui étaient à côté de moi avec Coline. C'était très sympa, malgré la présence dans le restaurant de trois ou quatre individus un peu éméchés...qui n'étaient pas kyûdôshas.
Le lendemain matin : entraînement et théorie : Tsumeai, Nobiai, Te no Uchi, torikake, San bun no ni, Kai, etc...très technique avec illustrations et démonstrations par Charles-Louis, puis mise en pratique.
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En attendant le tir d'ouverture... |
L'après midi, après le repas servi au dôjô (cuisine japonaise, nouilles japonaises avec tofu, poulet, champignon, crevettes, bouillon) c'est le tournoi sportif. Je n'y vais pas bien qu'il m'arrive d'atteindre maintenant la cible (mais seulement par hasard).
C'est très beau, le rythme est plus soutenu et on encourage les amis du club. Je reste quelques instants puis je m'échappe à 15 heures en remerciant Vincent et Sylvie mais aussi Laurence et Charles-Louis.
Sylvie en action...avec Laurence en arrière plan.
En rentrant à la maison, je m'arrête à Marseille dire un petit bonjour à mes parents et à ma soeur Brigitte chez sa fille Virginie et son futur mari, Sylvain. Julien et là aussi.
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